Concert du Nouvel An
à Vienne
France Musique
Mardi 1er janvier 2008 à 10h
En direct de la Grande salle du Musikverein de Vienne, en simultané sur France 2
A partir de 10h
« Autour du Concert du Nouvel An » par Jean-Christophe Keck
De 11h15 à 15h
Concert du Nouvel An
Johann Strauss, Marche de Napoléon, opus 156
Josef Strauss, Dorfschwalben aus Österreich, opus 164
Valse, Laxenburger Polka, opus 60
Johann Strauss (père), Pariser Walzer, Versailler Galop
Johann Strauss, Orpheus quadrille, opus 236
Joseph Hellmesberger, Kleiner Anzeiger, opus 4, Galop
Johann Strauss, Ouverture de « Indigo und die vierzig Räuber», Freut euch des Lebens, opus 340, Valse, Bluette, opus 271Polka française, Tritsch-Tratsch, opus 214. Polka rapide
Joseph Lanner, Hofball Tänze, opus 161. Valse
Josef Strauss, Die Libelle, opus 204. Polka Mazurka
Johann Strauss, Russischer Marsch, opus 426. Die Pariserin, opus 238. Polka française
Johann Strauss, (père) Chineser Galop, opus 20
Johann Strauss, Kaiser Walzer, opus 437 (Valse de l’Empereur). Die Bajadere, opus 351. Polka rapide
Orchestre Philharmonique de Vienne
Georges Prêtre, direction
Né à Waziers (près de Douai), Georges Prêtre commence sa carrière de chef à l’Opéra de Marseille (1946, 22 ans), puis à l’Opéra-Comique (1956). Parallèlement il dirige comme chef permanent dans la fosse de l’Opéra de Paris, jusqu’en 1963. Après avoir dirigé les plus grands orchestres américains à La Scala de Milan, Georges Prêtre revient à Paris, où il est nommé en 1966, directeur de la musique. Depuis 2002, le maestro français qui a accompagné Maria Callas dans ses derniers récitals, a commencé une importante collaboration avec la Staatskapelle de Dresde…
Au programme du Concert du Nouvel An à Vienne, plusieurs oeuvres emblématiques de Johann Strauss fils, lequel entretint toujours des relations plus que tendues avec son père. Lire notre dossier Johann Strauss fils
CD
Lire notre critique du cd Concert du Nouvel An à Vienne 2008 par Georges Prêtre et le Philharmonique de Vienne (2 cd Decca) Ce fut une « première » d’autant plus remarquée, qu’exposée
internationalement (télédiffusée aurpsè d’un milliard de
téléspectateurs!), la direction vive et subtile du chef français,
Georges Prêtre, -le premier maestro hexagonal à diriger le Wiener pour
le rituel sacro-saint du Nouvel An-, crevait littéralement l’écran.
Sans nationalisme outrancier, reconnaissons au concert, son intégrité,
son indiscutable niveau artistique, sa joie et sa gaieté, d’autant plus
projeté avec dans le programme, la présence d’Offenbach, grâce au
sémillant octogénaire, très en verve, aussi discret qu’éloquent…
