Entretien avec Didier Rochette (1/2)

Plus qu’un tremplin de talents, jeunes prometteurs et têtes d’affiche, C’est pas classique ! envisage surtout une nouvelle approche du classique: ouverte, généreuse, surprenante, régénérée. Une vision dont l’initiative revient au Conseil Général, incarné par Christian Estrosi, et dont les manifestations engagent un renouvellement du genre.
La 4 ème édition inscrit davantage le Festival dans l’agenda musical de la rentrée: en 2008, plus de 50.000 visiteurs ont répondu à l’offre élargie du Conseil général et de la Ville de Nice, étroitement associés pour le rayonnement et la réussit de l’événement azuréen.
Entretien avec Didier Rochette (directeur de la Culture au Conseil Général des Alpes Maritimes): historique du Festival C’est pas classique, politique culturelle conduite par le Conseil Général (principe de gratuité, incitation à la découverte des offres culturelles, sensibilisation vers tous les publics…), enjeux et perspectives du Festival C’est pas classique dans les années à venir…
Sommaire des vidéos
vidéo 1
Didier Rochette précise la genèse du Festival C’est pas classique à Nice, tout en présentant les valeurs défendues par le Conseil Général des Alpes Maritimes dans la conduite de sa politique culturelle
vidéo 2
Didier Rochette récapitule l’évolution de l’audience de l’événement azuréen et dessine les perspectives de C’est pas classique dans les années à venir: place des nouvelles scénographies et présence des programmes inédits au sein des éditions futures…
Compte-rendu
Classique innovant... Festival de têtes d’affiches, tremplin pour les jeunes talents,
récapitulatif des programmes musicaux présentés dans le département,
mise en avant des interprètes locaux défenseurs passionnés dans tous
les répertoires, scène ouverte et gratuite pour tous, forum populaire
pour sensibiliser les plus jeunes et susciter de nouvelles
vocations… les 3 jours du marathon musical « C’est pas classique! » à
Nice, après l’été, depuis 4 ans déjà (du 31 octobre au 2 novembre 2008)
portent bien leur nom: rien de « ringard » ni d’attendu, rien de convenu
ni de traditionnel: mais un vent nouveau de surprises, de rencontres
inédites, de projets audacieux dont les manifestations dans leur
diversité et les nouvelles configurations réalisées, pourraient
indiquer ce futur pour le classique, cet avenir que d’autres cherchent
avec d’autant plus d’acuité en ces années de crise de la filière
musicale… crise du cd bien sûr, mais aussi crise des publics, crise
de la diffusion et de la création…